Le sport n’a pas échappé aux conséquences de la crise sanitaire liée au Covid-19. Son économie a été touchée de plein fouet et ceci s’est fait sentir dans les quatre coins du monde. Faisons un petit d’horizon pour toucher du doigt cette réalité qui n’échappe pas à l’œil des observateurs du monde sportif.
Une crise sans pitié
La situation sanitaire alarmante de ces derniers mois à obliger certains acteurs sportifs à un confinement forcé paralysant ainsi toutes les activités sportives. Que ce soit dans le domaine du football, du basketball, du tennis…tout a été mis aux arrêts pour la simple raison de réduction de la propagation du virus. Ceci s’est très vite fait sentir sur l’économie mondiale. Il ne faut pas perdre de vue que le sport représente près de 2℅ du PIB mondial et son taux de croissance ne cesse de grimper chaque année. On se demande alors comment est-ce possible. En effet, pour chaque type de discipline sportive, le merchandising, les droits médias, les billetteries, les boutiques et la vente des accessoires sportifs constituent le vivier économique des clubs professionnel. Dans des pays comme la France par exemple rapporte plus de 77 milliards d’euros. Depuis le début de la crise, plus rien n’est plus comme avant. Les activités sportives même si elles toutes ont de la peine a bien démarré, certaines sont par contre au ralenti car elles se pratiquent maintenant avec moins d’affluence, un public absent avec des stades qui sonnent creux. Cette situation n’est point reluisante pour un secteur économiquement très important.
Le taux de chômage remarquable
Près d’un millier de travailleurs ont dû stopper leurs activités en raison de l’épidémie. Kinésithérapeute, membres des staffs techniques des clubs amateurs et professionnels sans oublier les agents ont subi les affres. Certains ont du même accepter de baisser leurs salaires à défaut de ne plus rien percevoir afin de survivre. Il urge que les instances faitières du sport mondial trouve des solutions pour maintenir la survie des clubs au risque de les voir faire faillite