Afin de diagnostiquer les maux du pied, il est préférable de se faire consulter par un spécialiste podologue. En plus, une consultation podologique est remboursable dans certaines mesures. Mais alors, que faut-il retenir essentiellement sur le sujet ? Nous répondrons à cette question dans cet article.
Conditions d’éligibilité à un remboursement des consultations podologique
Avant toute chose, certaines conditions sont à remplir pour bénéficier d’un remboursement. Rendez-vous à l’adresse https://santors.fr/mutuelle-sante/pedicure-podologue-quel-remboursement-des-frais-de-sante/ pour en savoir plus sur le sujet. En effet, pour avoir droit à une prise en charge des frais de consultation podologique, il faut se conformer aux différentes étapes de soins coordonnées. Ainsi, le patient doit, au préalable passer par son médecin traitant avant de recourir ensuite au spécialiste podologue. En respectant ce protocole, vous serez en mesure de bénéficier d'un remboursement sur vos frais de consultation.
Cependant, il est toujours possible de se dérober de ce procédé. Mais dans ce cas précis, le taux de remboursement proposé selon les différentes modalités, que nous allons voir dans la suite, est alors réduit. Il serait donc préférable de se conformer à cette procédure.
Les différentes modalités de prise en charge des frais de consultation podologique
Il existe deux modalités de remboursement. Premièrement, l’assurance maladie assure ce rôle. Celle-ci englobe seulement les consultations ayant respectés le parcours des soins coordonnés. Cette modalité présente une prise en charge de 60%. Mais, ce taux fluctue selon le régime d’appartenance. Ainsi lorsque vous êtes un partisan d’Alsace-Moselle par exemple, il est de l’ordre de 90% alors que du côté du régime de l’ASPA ou du FSV, la prise en charge est de 80%.
Par ailleurs, la deuxième modalité de remboursement est celle offerte par une mutuelle santé. Celle-ci vous permet de couvrir le ticket modérateur. Autrement dit, la mutuelle permet de rembourser le montant restant après que l’assurance maladie ait acquitté les 60% de remboursement conventionnel.